La découverte du participe parfait passif peut s’accomplir de moult manières : en l’observant dans sa position d’épithète, accompagné de l’auxiliaire esse pour devenir le passif d’un temps composé, ou au sein d’un ablatif absolu, choix qui a été retenu ici. La structure est plutôt courante et permet d’enregistrer, pour une version littérale, la traduction « ayant été … », réexploitable et en position d’épithète, et dans le cas d’un passif de temps composé (amatus erat, « il était ayant été aimé », donc « il avait été aimé »).